Relaxez vous, soyez vous même!

J'ai voulu vous parler de ce proverbe chinois parce que je trouve qu'en très peu de mots, cela veut dire beaucoup!

Encore en anglais mais la traduction est simple = les tensions sont ce que vous pensez que vous êtes - la relaxation est qui vous êtes.

Bref, quand nous essayons de nous conformer à une image ou une croyance sur ce que nous devrions être, nous faisons beaucoup d'efforts dans le corps. C'est comme nous forcer à être quelqu'un d'autre!

Naturellement, nous devrions être détendus (dans le sens que l'on ne tient pas quelque chose longtemps, quand il faut courir ou utiliser notre force, on se tend mais c'est dans le but de faire quelque chose ou de réagir à une situation d'urgence par exemple).

Bien sûr, on peut difficilement être totalement imprévisible dans nos sociétés, on doit respecter certaines règles pour bien vivre ensemble. 

Néanmoins, on constate souvent que quand on essaie d'être quelqu'un d'autre, souvent ça ne marche pas...

Nous gardons des tensions qui ne sont pas nécessaires :  on se fige dans des attitudes, des rôles (vous pouvez lire un précédent article que j'ai fait sur ce sujet ici)  : c'est automatique, cela nous rassure parce que l'on connaît (on se connaît).
Ces rôles ont également un impact sur nos relations car souvent elles nous éloignent et créent des complications.
Cela peut être aussi  à l'origine de symptômes physiques qui deviennent chroniques (un article sur le sujet là) et parfois douloureux.

Dans l'enseignement que je pratique (la Méthode Grinberg), je montre justement aux personnes comme elles se tendent dans le corps dans des attitudes automatiques et comment elles sont associées à des croyances (héritées de notre éducation, notre culture...).

Les personnes apprennent à se relâcher dans certaines situations et peuvent ainsi découvrir des nouvelles facettes de leur personne et laisser libre champ à leurs qualités naturelles. Elles sont plus libres, débarrassées de certaines croyances limitantes.

Bref, ce proverbe illustre très bien ce que j'enseigne aux personnes à travers cette Méthode Grinberg.


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Au delà des clichés sur l'amour?

On parle beaucoup de l'Amour en ce moment...enfin, on en parle mais qu'est-ce que c'est vraiment?

Est-ce que ça se limite à ça?

Je ne crois pas non...

Avant tout, l'amour est une sensation physique.  Quand on le sent, on ne se pose aucune question, c'est là, comme une évidence : un flux constant, qui est partout, en dehors de nous et qui nous traverse des pieds jusque la tête.
Aimer est plus grand que nous. Quand on aime, on accepte tout ce qui va arriver.
Vous avez peut être déjà fait cette expérience : l'amour peut nous pousser à faire des choses que l'on aurait jamais pu imaginer...
Quand on fait mal à quelqu'un ou quelque chose que l'on aime, cela peut amener beaucoup de violence. On est prêt à faire n'importe quoi.
L'amour peut changer complètement notre vie...
Et je ne parle pas que des relations amoureuses, mais aussi pour sa famille, pour quelque chose que l'on aime faire...

Quand on aime, on est plus présent, on est plus dans la réalité, plus spontanée, plus libre. On trouve une force, une énergie qui est un formidable élan.

L'amour développe certaines qualités comme :

- le courage-
- être direct
- ne pas être occupé avec avoir l'air bien.
- être engagé (sans être dépendant).

L'amour est partout alors pourquoi la sent-on si peu?

Et bien, tout d'abord c'est effrayant...quelque chose qui peut tout chambouler dans notre vie...c'est immense, incontrôlable...

On a parfois fermé notre coeur car on a été blessé...et on a peur que cela recommence...Mais en fait, on ne peut aimer si on ne veut pas de la douleur...

La peur de ne pas être aimé en retour nous bloque.
On ne peut sentir l'amour si on est dans l'attente de quelque chose ou si l'on a peur d'être blessé.

Ainsi beaucoup de personnes préfèrent y renoncer. C'est plus simple, on a moins peur, moins mal...

Quand on a beaucoup d'idées, de croyances sur l'amour, cela fixe la réalité...Et il y a moins d'amour justement...
Par exemple, comme la croyance qu'on ne peut aimer qu'une seule personne ou que l'amour est éternel.

Ou bien  on devient dépendant... Ou encore la relation devient un jeu de pouvoir.
On blâme les autres sans voir que l'on est juste occupé avec soi-même...comment aimer quelqu'un  quand on est juste occupé avec soi?

Si on laisse ses croyances et attitudes vis-à-vis de l'amour  prendre le dessus, on aura justement  une vie sans amour...

Ainsi, on limite notre capacité à sentir l'amour, à la permettre, on devient beaucoup moins disponible...

Pour vous parler d'un exemple concret (moi)  voici  comment mes relations ont complètement changé grâce à ce que j'ai appris avec la Méthode Grinberg.
Mes relations avec les hommes se sont beaucoup répétées à partir de l'âge de 20 ans :  les mêmes sensations d'échec, les mêmes déceptions...J'avais plus en plus de rancoeur, je blâmais les hommes, je trouvais ça injuste...J'avais tellement peur d'être rejetée que j'essayais de tenir les hommes, ce qui finissait toujours par les faire fuir...j'étais en fait bien plus occupé avec moi qu'avec l'autre en fait...
Mes relations amoureuses étaient de loin ce qui me préoccupaient (m'obsédaient presque) et me décevaient le plus dans ma vie...
Avec ce que j'ai appris avec la Méthode Grinberg, j'ai pu arrêter de vouloir retenir les hommes, j'ai permis de ne pas savoir comment la relation allait évoluer, de ne pas chercher à savoir d'ailleurs, de stopper d'avoir une idée de comment ça devait être,  et j'ai pris le risque d'être blessé, d'avoir mal...et alors j'ai pu rencontrer l'amour. J'ai senti une réelle curiosité pour la personne, j'ai permis beaucoup plus de place pour prêter attention à l'autre....
Grâce à cette méthode, j'ai pu prendre plus de responsabilité dans mes relations et voir comment mon attitude affectait les autres, en étant beaucoup plus occupé avec moi qu'avec la personne que je disais aimer...

 Si vous sentez que vos relations sont compliquées et insatisfaisantes, qu'elles se répètent, que l'amour manque dans votre vie, et que vous voulez apprendre à prendre plus de responsabilité dans votre vie en stoppant les croyances et attitudes vis-à-vis de l'amour qui vous empêchent d'aimer vraiment, ce travail est pour vous!

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Croire ou penser?

Voilà, je ne vais pas vous révéler un scoop car ce n'est pas nouveau, les hommes croient des choses ou en quelque chose! Je ne vais pas parler du Père-Noêl mais plutôt des croyances qui peuvent paraître parfois aussi incroyables mais pas seulement.
Pour dire vrai, j'ai eu l'idée de ce billet car j'ai remarqué de manière plus flagrante ces derniers temps que souvent on est amené à croire un peu n'importe quoi, sans vérifier, sans savoir quelle est l'intention de la personne qui veut" donner de l'info"...et je trouve dommage que l'on préfère croire "vite fait "que de vraiment penser!




Quand on dit  croire, on pense bien sûr à la religion, à la politique, aux superstitions ou bien à la prédiction de l'apocalypse (il paraît que c'est pour bientôt, 2012...ah je crois qu'on a déjà entendu ça non? ).
Mais les croyances ne se limitent pas seulement à cela. On a aussi des croyances qui n'ont l'air de rien mais qui nous limitent pourtant :
- sur soi ( notre capacité à réussir ce qu'on entreprend, à être proche des gens, que l'on a pas de chance dans la vie, qu'on est supérieur ou inférieur aux autres... );
- sur les autres ("les gens sont comme ci, comme ça...," 'ils ne prêtent jamais attention à moi", "ils sont plus heureux", "c'est plus facile pour eux"...
-  ou sur la vie en général (il faut travailler dur, la vie c'est compliqué, ...).

Mais ces croyances nous limitent-elles? 

Elles nous limitent dans le sens où elles réduisent les possibilités, elle fige les choses (comme si le monde ne changeait pas) et on se sent impuissant à changer ça (ou bien on imagine qu'il faut une révolution pour cela). Elle nous isole et réduit notre curiosité, notre capacité à s'adapter, à rencontrer...pas de place pour le mystère...
Souvent, c'est même déprimant ou rasant...

Ces croyances, on les a souvent construite selon notre culture, notre éducation, notre histoire.

Mais pourquoi construit-on toutes ces croyances alors? 

En fait, croire c'est plus "aisée" que de vraiment penser. Et ça rassure ! Même  quand on prédit des scénarios catastrophes,   on a une explication du passé, on s'est pourquoi c'est comme ça aujourd'hui, et on peut prédire le futur. ..tout est écrit, simple, figé. 

Si vous regardez bien, quand on croit quelque chose, ça nous rend généralement peu capable de réellement réfléchir, trouver de nouvelles idées, être créatif...
On peut même être persuadé d'avoir raison, de connaître la vérité (que quelqu'un nous aurait transmis...?) et on n'aime pas trop qu'on vienne remettre ça en cause... La personne qui pense (ou croit?) différemment est source de remise en cause et donc de danger. Parfois, cela amène de la haine...
Le dialogue, la réflexion sont impossibles, chacun s'isole ou bien reste avec des personnes qui partagent les mêmes croyances...

C'est un outil de pouvoir pour certains, le moyen de contrôler d'autres personnes en jouant avec leurs peurs...Il s'agît de manipuler. car certaines personnes n'ont pas que des bonnes intentions...Et si l'on croit, on devient des proies, des êtres manipulables et de ce fait, fragiles.
Mais même  pour les croyances sur nous ou sur les autres,  on peut voir que cela nous rassure, nous donne une explication aux choses, à la vie et pourquoi elle est comme ça. Elles nous évitent de sentir la peur, la douleur...

Croire (quelque chose ou quelqu'un), c'est plus rassurant que de ne pas savoir, que le vide, que de penser à chaque instant et prêter attention à ce qui nous entoure, ce qui change, percevoir le monde qui bouge (car la vie change tout le temps...) et sentir.

C'est quoi penser vraiment? voici quelques pistes (non exhaustives, je vous invite à penser avec moi!) : 

- prendre la responsabilité ( à l'inverse de critiquer, juger, croire, se plaindre, se justifier)

- voir et vérifier la réalité  

- être curieux, changer de sujet en fonction de la réalité qui change (à l'inverse d'être obsédé avec un sujet)

- sentir ce qui est là, l'expérimenter (à l'inverse de comparer, repousser...)

- réfléchir et faire (à l'inverse de douter en permanence)

- être honnête (à l'inverse de mentir automatiquement)

- avoir confiance que l'on est capable de sentir et voir ce qui se passe dans la réalité (à l'inverse d'être arrogant, de se sentir important ou bien trop modeste, dramatiser, se raconter toujours la même chose...)

- demander à quelqu'un que l'on a choisit (à l'inverse de se parler à soi-même)

- tourner la page, accepté ce qui est arrivé (à l'inverse de tenir des comptes, être occupé avec le passé et le futur, d'être amer, être jaloux en permanence, se venger, manipuler automatiquement...)

- avoir une vision pour le futur (à l'inverse de prédire, d'être confus, vouloir contrôler la vie...)

......

La question n'est donc pas "qui croire?" mais bien "croire ou penser".

Voulez-vous penser?
Surtout faites le, ne croyez pas ce que je dis, SVP! 

Si vous sentez que certaines de vos croyances vous limitent dans votre vie et dans l'atteinte de vos objectifs, la Méthode Grinberg vous apprend comment vous tenez ces croyances dans votre corps (et oui, les croyances ne sont pas que dans la tête) et comment vous pouvez les lâcher. Elle va vous apprendre à penser avec tout votre corps afin d'être plus libre et stopper de vous limiter avec des croyances héritées de votre histoire et qui n'ont plus lieu d'être.

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Mais qu’avons-nous fait de nos rêves ?

Quand j’étais enfant et que je rêvais de ce que je voulais faire quand je serais grande, je me souviens d’avoir eu envie d’être vétérinaire (très classique non ?) ou d’être une sportive de haut niveau (je rêvais d’être une star du tennis même si je n’avais jamais tapé une balle de ma vie…), ou bien d’être une grande musicienne (je joue du piano) quoiqu’on m’ait très vite découragée dans cette voie…

Un peu plus tard, j’ai beaucoup rêvé de voyages, d’aventures, d’aller parcourir le monde…ｼﾃﾅ囲吋以흐훅휨慕木牧

Je me souviens aussi que quand ma grand-mère me disait « tu n’as qu’à te marier avec un grand médecin », je lui répondais dans un accès de rébellion et tapant presque du poing sur la table «et bien que ce serait moi qui serais médecin, na ! » et elle s’éclaffait d’un grand rire sonore ! Je crois qu’elle aimait bien ça finalement…pas peu fière de voir mon esprit épris de liberté ! Et des rêves à la clé !

Oui, parce qu’il s’agit bien de cela (le sujet de ce petit billet), vous parlez de nos Rêves d'enfants!

J’ai remarqué que bien souvent, on les a oubliés ou on y a renoncé. Et je me suis demandé pourquoi cela ?

C’est vrai que cela fait très peur. Je me souviens d’avoir été longtemps terrifiée par l’idée de voyager seule, il m’a fallu plusieurs années avant que j’ose y aller (j’ai toujours peur aujourd’hui mais sans être paralysée).

Je me suis souvent dit que c’était trop difficile, trop compliqué, que ce n’était pas le bon moment ou bien que je n’avais pas de chance, que je n’étais pas capable, …et le temps passe…

On finit par croire que l’on rêve trop, trop grand, qu’il faut se résigner. On essaie de voir plus petit, on regarde ce que font les autres, on se compare (souvent en se sentant plus faible ou malchanceux), on explique, on justifie, on est confus, on ne sait même plus ce qu’on veut…

Ainsi, on finit par se limiter, on n’agît plus dans la direction de nos rêves.

Pourtant, certaines personnes n’ont pas abandonné leurs rêves et bien souvent, ils y sont arrivés (on se demande alors quelle force surhumaine les anime…). Mais justement n’est-ce pas parce qu’ils n’ont jamais renoncé ? avec le peur, malgré les obstacles, les doutes, ils y ont toujours cru. N’est-ce pas cela qui les rend fort ?

Aujourd’hui, qu'ais-je fais de mes Rêves d'enfant ?

Je ne peux pas dire que j’ai respecté à la lettre mes rêves d’enfant (je ne suis pas vétérinaire, ni médecin…) mais j’ai un super métier, très exigeant, risqué mais qui remplit mon souhait de rencontrer des gens au-delà des rôles convenus. J’ai voyagé pas mal et j’ai l’intention de continuer dans cette voie. J’ai des projets qui je l’espère m’amèneront à réaliser mes rêves, petits ou grands !
Car je me souviens quand je ne rêvais plus, je suis devenu triste et faible…
Heureuement, j'ai pu reprendre contact avec mes rêves, mes désirs et mes aspirations notamment grâce à la Méthode Grinberg.

La méthode Grinberg enseigne  à y voir plus clair dans ce qu’on veut, à stopper de se limiter avec des croyances et des conclusions tirées de notre histoire, à avancer dans la direction que l'on a choisit  sans être paralysée par la peur mais au contraire en l’utilisant comme un moteur qui peut permettre de franchir tous les obstacles.

Et vous, qu’avez-vous fait de vos Rêves? Les avez-vous réalisés, oubliés ?


Il est toujours temps de rêver, tant qu’on est vivant non ?

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